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Scorching

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Chapitre 17

 
 
 Chapitre 17
 
I'm an atom of nothing
Looking for another to combine,
Maybe we could be the start of something,
Be together at the start of time.
 
 
 
 
     Jour 1.
 
     J'écris Jour 1 parce que j'ai aucune idée de quel jour on est, ni même de quel mois. Ca me sert plus tout ça. J'ai juste besoin de savoir l'heure pour mes rendez-vous médicaux et ceux avec mon psy. C'est lui qui m'a demandé d'écrire une sorte de journal de bord, où je peut mettre ce que je veux. Je croyais que c'était que dans les livres qu'on demandait ça. Mais maintenant que je peut écrire, je veux bien essayer. Il a dit qu'il le lirai pas, personne le lira. Il a dit que c'était juste pour pouvoir mettre des mots sur mes pensées, sur ce que je ressens, sur ce qui s'est passé. Mais je sais pas vraiment à quoi ça peut réellement servir, je sais pas vraiment ce qui s'est passé. Mais même le kiné a dit que ce serait un bon entrainement l'écriture, alors voilà.
     Mais pour l'instant qu'est-ce que je peux dire?  Je reste sur ce lit et j'attends. Mais je sais pas ce que j'attends. Alors en attendant, je vais essayer d'écrire. Mais je sais pas quoi écrire.
 
     Jour 2.
 
     En fait, ce carnet, c'est censé être un peu comme l'intérieur de ma tête, avec toutes mes pensées. Mais ce carnet, il à l'air propre et vide, comparais au bordel qui se passe dans ma tête.
 
     Jour 3.
 
     J'arrive pas à écrire ce que je pense. J'ai l'impression que j'ai pas le droit. Puis je me dis que au moins, si j'écris pas dedans, je pourrais le réutiliser pour autre chose... Mais j'essaie de me creuser la tête pour écrire, parce que j'ai que ça à faire. D'habitude quand j'écris des chansons avec ma guitare, ça vient tout seul les paroles. Mais je sais plus jouer de la guitare.
     Mais je peux faire un résumé de ma vie en ce moment: malgré le fait que je ne bouge pas, que je ne parle pas, que je ne mange pas, que je ne ris pas, malgré le fait que je ne fasse rien de mes journées, ma vie est juste un énorme n'importe quoi. Si les gens venaient pas me voir dans ma chambre, je m'en rendrais as compte. Si je restais seul, je pourrais crever en paix.
     Je viens de réaliser que je venais d'écrire que je voulais mourir. Mais c'est pas vraiment ça. Mais si j'étais seul, je mourrais. Je suis dépendant de tout le monde. J'ai besoin de quelqu'un pour chaque geste du quotidien qu'une putain de personne normale pourrait faire sans problème.
 
     Jour 4.
 
     J'écris qu'une dizaine de ligne maximum par jour. Mais je reste des heures penché sur la feuille avec mon stylo. Y a des tas de trucs qui me passent pas la tête, mais j'arrive pas à les écrire. Ça me ferait trop mal de les écrire. J'ai une phrase, une seule, qui tournent en boucle dans ma tête. Mais j'arrive pas à l'écrire. Mais ce cahier est fait pour ça. Puis personne ne le lira. Personne. A part moi, peut-être. Je sais pas. Je suis censé écrire ce qui se passe dans ma tête, pas cherché pendant des heures des trucs à dire à ce putain de papier. A partir d'aujourd'hui, je vais vraiment écrire ce que je pense.
     Je l'aime. Merde.
 
     Jour 5.
    
      Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime.   Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime.   Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime.   Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime.   Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime.   Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime.   Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime.   Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime.   Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. 
 
     Jour 6.
 
    Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime.   Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime.   Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime.   Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime.   Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime.   Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime.   Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime.   Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime.   Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime.  Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime.   Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime.   Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime.   Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime.   Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime.   Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime.   Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime.   Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime.   Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime.  Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime.   Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime.   Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime.   Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime.   Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime.   Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime.   Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime.   Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime.   Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime.  Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime.   Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime.   Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime.   Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime.   Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime.   Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime.   Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime.   Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime.   Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. 
 
     Jour 7.
 
     Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime.   Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime.   Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime.   Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime.   Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime.   Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime.   Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime.   Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime.   Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime.   Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime.   Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime.   Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime.   Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime.   Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime.   Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime.   Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime.   Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime.  Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime.   Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime.   Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime.   Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime.   Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime.   Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime.   Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime.   Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime.   Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime.  Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime.   Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime.   Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime.   Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime.   Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime.   Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime.   Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime.   Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime.   Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime.  Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime.   Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime.   Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime.   Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime.   Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime.   Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime.   Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime.   Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime.   Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime.
 
     Jour 8.
 
     Je crois que je pense trop à lui.
 
   
 
 
 
 
      Zayn n'arrêtait pas de repenser à ces mots. Aucun nom, aucune façon de savoir qui est ce "l' " mais le métis savait que c'était lui. Il n'avait aucune preuve, mais c'était évident. Et depuis tout ce temps, il ne l'avait pas remarqué.
 
      Et lorsque Perrie est venue le soir, il les avait encore dans la tête. Je l'aime. Ces mots faisaient battre son c½ur encore plus fort et il avait juste envie de sourire. Mais il essayait de se contenir, parce qu'on n'est pas censé être heureux de revoir son ex petite amie qu'on a largué récemment.
 
     Durant toute la soirée, c'est Harry qui sayait de faire la conversation. Au début, ils ignoraient tous le sujet. Ils parlaient de tout et de rien, en souriant faussement. Et lorsqu'ils n'avaient plus rien à se dire, ils portaient leur verre de vin à la bouche et manger distraitement. Mais Perrie était tendu. Elle appréhendait le moment où il parlerait de la vrai raison de sa venue. Il fallait bien en parler à un moment. Et tandis que le plus jeune revenait avec le dessert, la blonde se retourna vers Zayn.
     - Alors, c'est vrai, tu es gay? demanda-t-elle en allant droit au but.
     - Ouais, répondit le métis en regardant son assiette.
     - Et... Tu t'en ai rendu compte quand? C'est à cause de moi? Je...
     - Non, non Perrie. C'est y a pas très longtemps. Je suis amoureux.
     - Oh... Et tu l'était pas pour moi, amoureux?
 
     Zayn souffla en lançant un regard à Harry. Ce dernier paraissait concentrer sur son portable. Il ne viendrait pas l'aider. Il reporta son attention à la jeune femme;
     - C'est compliqué.
     - Compliqué? Répéta-t-elle. Compliqué? Y a rien de compliqué Zayn. Répond juste à ma question.
    - Je l'ai étais. Je t'ai aimé... Puis j'ai rencontré quelqu'un.
     - Je le connais? interrogea-t-elle d'un ton sec.
    - Oui.
     - C'est qui?
  
     Un long silence s'en suivit. Elle croisa les bras en serrant les lèvres, essayant de contenir sa colère.
     - T'es pas décidé à me le dire.
     - Non.
     - Il est comment, au moins?
     - Il est... Blond, aux yeux bleus, hésita Zayn.
 
     Perrie le dévisagea en arrangeant ses cheveux.
     - C'est marrant ça, parce que moi aussi je suis blonde aux yeux bleus... Tu te fou de moi? Je ne veux pas jour à ça.
     - C'est pas ce que je voulais dire... Enfin si, mais je me fou pas de toi.
    
     La jeune femme sembla tout à coup être accablé de fatigue. Elle posa ses coudes sur la table et pris sa tête entre ses mains. Puis elle soupira et releva la tête vers Zayn.
     - T'as raison. C'est compliqué... Est-ce qu'un jour je saurais qui c'est? Ou vous allez vous cacher toute votre vie?
  
     Le métis fronça les sourcils, surpris par ce changement d'humeur. Et il n'avait pas de réponse à cette question.
     - Je... On sait pas. Pas encore. C'est encore récent nous deux, et on a pas encore abordé la question tous les deux. Mais... Mais je crois, enfin je suis sur qu'on s'aime, répondit-il sans pouvoir s'empêcher de sourire au souvenir des mots écrits sur le cahier. Et pour l'instant, on a pas encore pensé à l'avenir.On vit au jour le jour. Mais c'est le bon. Et je voudrais pas me cacher toute ma vie. Il faut juste attendre le bon moment.
 
     Perrie observa Zayn, perdu dans ses pensées parès ce qu'il venait de dire. Puis finalement, après un long silence, elle se redressa et posa un regard presque attendrit vers lui.
     - Ca me fait bizarre de te voir parler comme ça, comme si tu étais avec un homme. Enfin, tu l'es. Mais je te voyais pas homo, avant. Je... Pendant des jours, j'ai essayé de comprendre pourquoi. Je cherchais ce que j'avais fait de mal... Et là je viens de me rendre que c'est juste toi qui a changé. Je dis pas que c'est mal. Au contraire, tu as l'air heureux. Alors tant mieux, s'il te rend heureux. Ça à l'air sérieux entre vous deux, et je te souhaite que ça marche. Je te le souhaite sincèrement. C'est pas facile de trouver la bonne personne, celle qui nous fait sourire juste en pensant à elle... Pas facile du tout, ajouta-t-elle en baissant les yeux vers son assiette.
 
     Zayn passa un bras sur ses épaules, mais la jeune femme le repoussa et se leva brusquement.
     - Je crois que c'est mieux si j'y vais maintenant. A bientot, peut-être.
 
     Et tandis que le métis restait planté sur sa chaise à se demander si son ex petite amie avait bien prononcé ces phrases, Harry la raccompagna jusqu'à sa voiture. Lorsqu'il revint, son ami était toujours assis, la bouche entrouverte, l'air perdu.
     - C'est une fille bien, dit le bouclé en brisant le silence.
 
     Le métis hocha la tête comme pour confirmer ses paroles.
 
 
Chapitre 17
 

 
     Le lendemain, Zayn alla voir Niall en fin de soirée, mais pas trop tard pour ne pas déranger. Il y retourna avec le carnet, et un énorme sourire sur les lèvres. Madame Horan sembla heureuse de le voir comme ça et elle l'invita avec plaisir à rentrer. Comme à son habitude, Zayn prit des nouvelles puis il monta jusqu'à sa chambre et embrassa le blond avant de s'assoir.
     - Bonsoir, souffla-t-il contre ses lèvres.
     - Salut, répondit Niall, un peu surpris par cet accueil.
 
     Le métis se redressa en souriant et lui tendit le cahier.
     - Tu l'avais commencé quand?
     - Je sais plus.Quand j'ai put me servir de mes mains, un peu avant que je te dise que j'arrivais à mieux les bouger. Enfin je crois. Je m'en souviens presque plus, après j'ai arrêté d'écrire.
     - Pourquoi?
 
     Niall haussa les épaules puis jeta le carnet par terre. Il prit la main de Zayn entre ses doigts et leva les yeux vers lui.
     - Ca va? Tu as l'air... Souriant.
 
     Le sourire de Zayn s'agrandit et il haussa à son tour les épaules.
     - Je sais pas, j'ai l'impression que tout va finalement bien se passer. Tout va s'arranger. On s'aime. Tu vas de mieux en mieux... Et j'ai parlé à Perrie... Elle est contente pour nous. Je lui ai pas dit que j'étais avec toi, je veux pas encore l'annoncer, surtout à elle. Mais elle nous souhaite que ça marche.
     - Elle est compréhensive, dit Niall en souriant. Moi aussi j'ai l'impression que tout va s'arranger...
 
      Le blond passa une main derrière la nuque du métis et le rapprocha pour pouvoir l'embrasser. Puis Zayn s'écarta et déposa un dernier baiser sur son front avant de se redresser.
     - J'aime t'embrasser comme ça.J'aime pouvoir t'embrasser sans qu'il y ait forcement dans ma tête une arrière pensée du genre "je vais le baiser". Là, y a juste toi et moi, et même si, j'avoue, j'aimerais aller plus loin, je me concentre juste sur tes lèvres. Et c'est parfait. Ces moments sont parfaits.
  
     Niall lui souria.
    - Je trouve ces moments parfaits aussi... Et tu sais ce que j'ai fait hier? demanda-t-il après un silence.
    - Mmmh non?
     - J'ai regardé le CD que tu m'as donné hier... Notre... Enfin tu vois...
     - Oui, je vois, ria le métis. T'en a pensé quoi?
     - Ben... En regardant ça avec du recul, je trouve que c'est assez pervers comme truc, et peut-être parfois un peu dégoutant. Spécial...
 
     Le sourire de Zayn s'affaissa et il sembla gêné.
     - Oh...
     - Mais, reprit Niall, je changerais ça pour rien au monde. Ça fait partie de nous. Et franchement, je voudrais bien recommencer un de ces trucs pervers et spécial, un jour, quand je pourrais.
     - Vraiment? souri Zayn en se rapprochant pour l'embrasser de nouveau.
     - Vraiment, murmura Niall. Et puis on s'aime.
     - Et ça change quoi?
     - Ca change tout, souffla Niall contre ses lèvres avec un sourire.

     Ils échangèrent un long baiser en silence, puis le blond fit comprendre qu'il en voulait plus. Le métis monta à califourchon sur lui et enleva son t-shirt. Il baissa les yeux vers Niall qui observait son torse avec désir.
     - Je te veux, Zayn.
      - Je t'ai déjà dit que je voulais attendre que tu arrive à marcher. Là, c'est tout récent je veux pas te faire de mal.
     - Tu m'en feras pas, je le sais.
    
     Mais le métis secoua la tête en caressant la joue de Niall.
     - J'essaierai de trouver autre chose que se toucher l'un devant l'autre comme ça, mais c'est tous ce que je peux te proposer pour l'instant. Je veux pas brusquer les choses. Je t'ai dit que je voulais que ce soit parfait la prochaine qu'on le fait. Et je voudrais que toi aussi tu prennes du plaisir, et je suis pas sur que tu sois vraiment à ton aise si tu ne peux pas utiliser tes jambes. Laisse toi du temps... En attendant, tu verras, je vais trouver pleins d'autres choses à faire...
     - J'ai hâte que tu les trouve, souri Niall avant de reprendre leur baiser.

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#Posté le mercredi 01 janvier 2014 13:33

Modifié le samedi 04 janvier 2014 08:46

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Scorching, Posté le mercredi 29 janvier 2014 12:27

Mégane a écrit : "Olala, c'est tellement mignon. " Je l'aime, je l'aime, je l'aime, je l'aime " J'aime tellement ce chapitre. J'aime tellement ta fiction. J'aime tellement.. Tout. Merci de nous faire lire quelque chose de magique *-*"

Aw merci à toi pour ton commentaire!


Mégane, Posté le dimanche 12 janvier 2014 18:09

Olala, c'est tellement mignon. " Je l'aime, je l'aime, je l'aime, je l'aime " J'aime tellement ce chapitre. J'aime tellement ta fiction. J'aime tellement.. Tout. Merci de nous faire lire quelque chose de magique *-*


Perfect-One-Direction, Posté le samedi 04 janvier 2014 15:03

J'adoore :)


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